Dans cet épisode intime et authentique, on parle du syndrome de la grande sœur : ce rôle qu’on endosse très tôt, souvent inconsciemment, celui de celle qui gère, soutient, rassure, prend sur elle – tout le temps.
Avec mon invitée, qui a elle aussi grandi avec ce schéma, on discute de ce que ça fait de toujours devoir être forte, de l’impact sur nos relations, notre charge mentale, et notre difficulté à demander de l’aide.

On parle aussi de :

• l’enfance et les rôles familiaux,

• la fatigue émotionnelle,

• les limites qu’on apprend (parfois trop tard) à poser.

Un échange sincère, où l’on se reconnaît, où l’on se questionne, et où l’on ouvre la voie vers un rapport plus doux à soi-même.

Dans cet épisode, je partage un trait de caractère qui m'a toujours troublé : mes obsessions, et surtout mes obsessions relationnelles. Loin d'un quelconque diagnostic psychiatrique, je présente les obsessions que je peux créer vis-à-vis de mes relations et la manière dont ça influe dans ma vie quotidienne.

P.-S. : Sorry pour les problèmes audio :)

Dans cet épisode profondément personnel, je partage mon parcours intime autour du suicide. J’évoque les pensées sombres qui m’ont traversé, les moments les plus difficiles.
Ce témoignage n’est ni une réponse universelle ni un discours figé, mais une parole libre et sincère sur ce que c’est de vivre avec ce poids invisible.
J’aborde également la manière dont cette expérience a transformé ma vision de la vie, des autres, et de moi-même.

Cet épisode s’adresse à celles et ceux qui traversent ou ont traversé des périodes similaires, mais aussi à leurs proches qui cherchent à comprendre. Tu n’es pas seul.e <3.

Trigger warning : cet épisode parle explicitement de suicide. Si tu te sens vulnérable, je t’invite à l’écouter dans un moment où tu te sens en sécurité, ou à demander du soutien.

P.S. : Encore désolée pour la qualité audio :)

Dans cet épisode, je m’interroge sur la notion de "chez soi" : qu’est-ce que cela signifie vraiment ? Est-ce un lieu, une sensation, un souvenir, une langue ? Est-ce qu’on peut en avoir plusieurs, ou aucun ? Je partage mes réflexions personnelles autour de cette question universelle, entre attachement, déplacement et identité.

Petite note avant d’écouter : désolée pour la qualité audio un peu bancale, je suis enrhumée — merci pour votre indulgence !