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L'ouvrage le plus personnel de Jacques Salomé nous interpelle sur l'art de communiquer en conscience.

Dans cet enregistrement, Jacques Salomé propose de repérer les principaux auto-saboteurs avec lesquels nous violentons notre vie tout en altérant notre relation aux autres. Au fil de l'écoute, vous pourrez découvrir vos propres auto saboteurs préférés ainsi qu'une démarche et des moyens pour vous en débarrasser, c'est-à-dire y renoncer. Avec son talent et son sens pédagogique habituel l'auteur nous permet de prendre conscience de ces "intrus" qui nous habitent et qui risquent soit de contrecarrer les choix de vie que nous faisons, soit de nous entraîner dans une direction qui n'est pas bonne pour nous.

En s'appuyant sur quelques-uns de ses meilleurs textes poétiques, tirés de ses principaux recueils de poésie, Jacques Salomé nous propose un voyage émouvant dans ce qu'il appelle les pays de l'amour. Au travers d'une lecture très personnelle, où il a demandé à son ami Levon Minassian, (maître de flûte arménienne) et à Serge Arribas (piano) de l'accompagner, il nous entraîne au plus profond et au plus large de l'aventure amoureuse.

Voilà un thème difficile à aborder, tant il est chargé d'espoir... mais aussi de malentendus. D'ailleurs, il semble plus facile aujourd'hui de parler de sexe que de sexualité ! Oui, parler d'amour, c'est entrer dans un univers incroyablement complexe. L'auteur ose aborder aussi ce qui ne se dit jamais, ce qui reste le plus silencieux. En fait, il nous invite à nous ouvrir à un partage possible entre les partenaires que nous sommes ou que nous projetons d'être. L'amour ça se tisse au fil des jours.

La tendresse c'est apprendre à conjuguer le verbe aimer seulement au présent. La tendresse est en nous, mais nous ne savons pas toujours la vivre et la partager. Avec sa sensibilité et sa poésie coutumière Jacques Salomé nous enseigne : à repérer les habitudes qui font obstacle à la tendresse, à affronter les principaux ennemis, à dépasser les rancœurs et les ressentiments.

Grâce à cette conférence l'auteur vous permet de comprendre : comment vos maladies sont des cris du silence, comment les blessures les plus profondes sont celles que nous n'avons pas pu médiatiser par la parole, la mise en mots, comment nous sommes "partie prenante" de tout ce qui nous arrive. Le corps dont la mémoire est inaltérable peut traduire des fidélités, des loyautés à tel ou tel parent pour tenter de réparer les blessures cachées de ces mêmes parents.

Nous découvrons parfois douloureusement que les mots ne sont pas toujours suffisants pour construire des relations vivantes et durables. Dans cet enregistrement, Jacques Salomé donne des éléments fondamentaux pour utiliser un des médiateurs le plus puissant "la symbolisation", véritable outil de communication avec soi-même et avec les autres. Comme à son habitude, il illustre par des exemples concrets la part de symbolisation nécessaire dans le contexte d'une vie d'adulte.

Beaucoup de personnes sont aujourd'hui en souffrance morale et psychique. Le changement à introduire est de redonner un sens au travail, pour éviter que ce mal-être ne s'accumule.

Les contes, les métaphores sont de véritables outils de maturation. En stimulant notre imaginaire, ils nous conduisent directement à l'inconscient, sans intermédiaire, sans écran, en cela ils remplissent une fonction essentielle, celle de nous relier aux forces vives de notre créativité. À partir de là, Jacques Salomé n'a pas hésité à soigner certaines souffrances du corps et de l'âme en racontant des contes, des métaphores, des histoires poétiques et ludiques.

Si l'expression des enfants et des adolescents s'est développée depuis une ou deux générations, leur capacité à mettre en commun s'est appauvrie considérablement. Il existe une grande méfiance des adolescents face aux discours des adultes. Vouloir apprendre aux enfants et aux adolescents à communiquer devient donc une urgence salutaire.

Cet enregistrement contient une puissante synthèse de l'œuvre de Jacques Salomé permettant de réinventer des relations plus fertiles, plus dynamiques, plus porteuses de vie. Pour ce faire, l'auteur propose la méthode E.S.P.E.R.E. : Energie Spécifique Pour une Ecologie Relationnelle Essentielle. C'est une approche d'ordre pédagogique qui suppose de se former. Elle vise à transmettre des savoirs être, des savoirs créer, des savoirs devenir.

"Enfants et adultes, chacun avec ses moyens peut se responsabiliser pour oser se dire et être entendu, pour inviter l'autre à se dire et prendre le risque d'être entendu." Encore une fois Jacques Salomé ne fait pas dans la facilité. Il bouscule nos "certitudes" d'adulte pour nous permettre de vivre des communications vivantes et d'avoir des relations en santé avec nos enfants.

Malgré la tendresse, malgré l'affection et l'espérance, deux êtres qui ont fait un bout de chemin ensemble se retrouvent un jour face à face, incapables de communiquer, d'ouvrir leur cœur, de dévoiler leurs pensées, de se rendre accessibles. Pourquoi et comment en sont-ils arrivés là ? Est-il possible d'améliorer leur relation ? Jacques Salomé s'est interrogé sur la désintégration des couples.

Siddhartha était le fils d’un roi puissant qui vivait dans un immense palais aux pieds de l’Himalaya. Son père le tenait jalousement prisonnier, pour le préserver des souffrances du monde. À partir de cette enfance murée dans le silence et traversée de questions et de peurs, se construira une personnalité exemplaire toute entière tendue vers l’accomplissement et le don de soi.

"Dis papa, est-ce qu'on peut aimer deux personnes en même temps ? Comment on fait pour que l'amour ne meure pas ? Où se trouve la source de l'amour ?" Ne pas confondre passion amoureuse et amour passionné, ne pas occulter non plus la fête des corps, les désirs d'enfants, comprendre la multiplicité des sentiments et l'existence d'un "terrorisme" amoureux... Autant de sujets sensibles que Jacques Salomé évoque en apportant des éléments de réponse à ses enfants - et aux autres - sans préjugé ni gêne.

Décrypter les paroles toxiques qui sabotent les relations de couple. En 2017, sur le territoire français, 219 000 femmes ont été victimes de violence conjugale. La violence physique démarre toujours par des violences invisibles qui sont entretenues le plus souvent par les protagonistes d'un échange : l'injonction (on parle sur l'autre, plutôt qu'à lui) - c'est la pratique abusive de la relation klaxon (à base de tu, tu, tu...) ; le maintien de la dépendance (en faisant trop pour lui et pas assez avec lui), en le contrôlant, en limitant son autonomie.

L'enfant qui interroge son père ou sa mère est persuadé que l'adulte sait ce qu'est l'amour, alors que même devenus parents, nous n'en restons pas moins des apprentis de l'amour. Notre tentation en tant qu'adulte est de chercher la réponse dans un savoir, une expérience ou un témoignage alors qu'elle est impalpable et insaisissable comme le vent, si fluide et si fragile comme une source aux différentes époques de notre vie.

Tout commence par un désir : "faire ensemble un enfant" mais justement lequel ? Que de méconnaissances réciproques autour d'un désir d'enfant ! Puis, vient la naissance avec le dur apprentissage de devenir parents : - Du nourrissage de départ au sevrage relationnel quand le bébé passe de la maman à... à la mère. - L'intervention du papa pour limiter une trop grande symbiose avec la maman. Le passage du papa au père pour affirmer les valeurs et les règles.

Vivre les séparations, les pertes ou les ruptures en restant vivant, entier. Naître, c'est entrer dans la vie ; or il n'y a pas de vie sans séparation, pas de séparation sans deuil pour surmonter la souffrance consécutive à la perte d'objet. Savoir se séparer s'apprend.

Dans toute rencontre, dans tout partage, nous offrons à l'autre ce que nous sommes. Or beaucoup d'entre nous ont des exigences redoutables à l'égard d'eux-mêmes, des conduites de mépris, des attitudes de rejet, des doutes, des dévalorisations, des conduites d'autoprivation. La pire des solitudes est de s'ennuyer en sa propre compagnie. La pire des pauvretés n'est pas dans ce qui manque mais dans l'ignorance de tout ce que nous avons.