• C-Level à temps partagé : Pourquoi ça buzz si fort ? - Alexandre Duperrin (SMASH)

  • Sep 3 2024
  • Length: 47 mins
  • Podcast

C-Level à temps partagé : Pourquoi ça buzz si fort ? - Alexandre Duperrin (SMASH)

  • Summary

  • Après un séjour chez Spendesk en hypercroissance, Alex a rejoint SMASH, qui permet aux entreprises d’avoir toute la force de frappe d’un “Head Of”, sans les inconvénients habituels (recrutement, budget, temps etc..)


    Ce qu’il aime, c’est l’ambiance familiale d’une culture d’entreprise. Après 4 ans de gestion chez Spendesk, où le Growth Strategist a vécu l’hypercroissance de la boîte, Alexandre reste passionné par la relation humaine dans le business. Sa polyvalence et sa curiosité font de lui aujourd’hui le “couteau suisse” de la startup spécialisée dans l’externalisation des supports (finance opérationnelle, RH opérationnelle et juridique opérationnel). “Je me vois comme un profil généraliste, passionné par la polyvalence, où je peux avoir des compétences dans chaque domaine”, explique Alexandre.


    Lorsqu’on lui pose la question "Que penses-tu de cette émergence du temps partagé ?", Alexandre répond sans hésiter : "Aujourd’hui, beaucoup d'entreprises et de collaborateurs recherchent la flexibilité." Pour lui, le temps partagé est divisé en deux groupes : les indépendants/freelances et le modèle salarié, que l’on retrouve chez Smash.

    D'ailleurs, ce qui différencie Smash des autres prestataires, c’est justement ce modèle basé sur le salariat. Un pari gagné car, d’après Alexandre, un salarié de Smash peut avoir entre 5 et 7 clients. Les plus gros demandeurs s’avèrent être les entreprises qui atteignent une forte croissance : "Quand on arrive au bout de nos compétences, il faut faire appel à l’externalisation. C’est comme le fondateur d’une grosse boîte, il ne peut pas se concentrer sur tous les postes."

    Effectivement, on pourrait penser qu’une entreprise comme Smash, qui travaille uniquement en temps partagé, ne pourrait pas construire de véritables liens avec les sociétés clientes. En vérité, c’est le contraire : "Nos clients nous invitent à leurs séminaires, aux pots de départ… On est considéré par nos clients et c’est très gratifiant. Ce qui compte, c’est le temps passé pour l’externe, pas le temps passé derrière son écran", partage Alexandre.


    En plein essor de l’IA, Alexandre insiste sur l'importance de la psychologie dans l’externalisation et sur la nécessité de s’adapter à l’environnement de l’entreprise demandeuse : "Il faut vivre la réalité du client. Il ne faut pas que le client se dise que tu es complètement détaché de son environnement."

    À cela s’ajoute le fait de "se fondre dans la masse". Être employé chez Smash, c’est jongler entre imprégner la culture du client tout en représentant Smash. Un challenge qui semble être gagnant-gagnant d’après Alexandre : "Les internes s’inspirent des externes et inversement."

    Imprégné de sa polyvalence, Alexandre décrit traditionnellement son entreprise de rêve : "Je dirais sans doute autre chose dans 4 ans, mais actuellement, je dirais une entreprise qui me permet de beaucoup apprendre et d’être entouré de personnes inspirantes."


    Pour encore plus de détails, visionner et écouter notre podcast avec Alexandre sur (mettre le lien). Bonne écoute !


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