Incarner le 'small is beautiful', c’est ce à quoi Hakara nous invite dans ce 8ième épisode de Créez moi sur parole.  Ultime épisode de la saison 1 !

Ce concept, inspiré par Satish Kumar et le Schumacher college, n'était pas si à la mode que ça quand Hakara a démarré sa vie professionnelle. 

 Dans cet épisode, Hakara nous raconte comment il a progressivement développé cette aspiration. Il nous partage aussi les baffes prises au passage, comme il les appelle.

 Des baffes qui ont accéléré sa prise de conscience écologique.

 Des baffes qui, même douloureuses, lui ont aussi fait prendre un sacré recul sur sa vie. 

 Hakara est un inclassable.

Il n’aime pas être sur le devant de la scène et pourtant ses mots sont des cadeaux.

Dans cet épisode il revient sur ses racines, son côté yang comme il dit, 
la vision mécanique des choses et ses limites, 
les douleurs vécues lors de ses prises de conscience, 
de la fresque du climat, 
de sa soif d’harmonie, 
de se sentir utile au monde, 
comment il a accueilli son féminin / yin, 
il nous raconte son vécu à contre-emploi et son sentiment d’urgence  d’accueillir collectivement le cancer généralisé de notre monde.

Aujourd'hui, on prend le temps, on ralentit, on contemple, on plonge dans nos profondeurs, nos inquiétudes et on rit. Et oui, tout cela en même temps !
 
Je vous souhaite une douce et nourrissante écoute.

Et à très vite pour la saison 2 sur un nouveau thème qui je l'espère vous plaira tout autant qu'à moi !
 
 Pour retrouver Hakara, c’est par ici
Pour en savoir plus sur la fresque du climat, sur le Schumacher college, 

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 Créez moi sur parole est un podcast 100% réalisé en finistère au coeur du pays des Abers.